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Robert Sartet, tueur recherché par toutes les polices, a enfin été arrêté et est présentement dans les couloirs du Palais de Justice. Un complice, déguisé en gardien de la paix, glisse dans la poche de Sartet une scie à métaux. Quand Sartet se trouvera dans le fourgon cellulaire, il percera le sol métallique de son compartiment pour se retrouver libre. L'évasion a été organisée par le clan des siciliens, dirigé par Vittorio Manalese. Il vit avec ses deux fils, son beau-fils et sa belle-fille. La soeur de Sarlet livre à Manalese la somme prévue pour le travail effectué. Sartet confie au clan un projet dont l'idée lui est venue en prison : s'emparer de la collection de bijoux présentée à l'Exposition de Rome. L'ingénieur, qui a lui-même dessiné le dispositif de sécurité, en a donné le plan à Sartet en prison. Manalese fait venir de New York son vieil ami Tony, un ancien complice à lui et un vrai professionnel. La conclusion de Tony est catégorique : à Rome, le coup est infaisable. Peut-être que, durant le transport des bijoux de Rome à New York, où doit avoir lieu une seconde exposition, une solution sera possible. Quelque temps plus tard, un homme de Tony, un pilote, arrive chez Manalese et lui explique son plan : faire atterrir l'avion qui transportera les bijoux à quelques kilomètres de l'aéroport. Sartet qui, quoique traqué par le commissaire Le Goff, a pu échapper à ses poursuites plusieurs fois, prend l'identité d'un diamantaire chargé du convoi des bijoux. Arrivés au-dessus de New York, Manalese, Sartet, le pilote de Tony prennent les commandes de l'avion. Il atterrit sur une autoroute ; une escouade de gangsters s'emparent des bijoux. Oui, mais le destin veille : Sartet, qui a eu une brève liaison avec la belle-fille de Manalese, est dénoncé par le petit-fils de ce dernier. Manalese fait revenir Sartet à Paris et le tue. En même temps, le clan, dans sa totalité, est arrêté par la police.
© Les fiches du cinéma 2001 |
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